lundi 21 octobre 2013


Deux-Sèvres - Parthenay - Social

Fin de " négo " chez Air liquide Welding

12/10/2013 05:28  La Nouvelle République



Les négociations viennent de se terminer au sein du groupe Air Liquide Welding France dont l'actionnaire unique n'est autre que le groupe multinational Air liquide. Des négociations qui ont abouti au final à la suppression de 114 des 807 postes que comptait l'entreprise.

Sur ces 114 suppressions de poste, 25 auraient dû concerner le site de Parthenay où travaillent encore 149 personnes. Finalement, après négociations, ce n'est plus que 20 postes que perdra le site des Deux-Sèvres, les autres étant répartis sur les 4 autres sites français du groupe. « Désormais, on est arrivé au bout des négociations », nous indiquait hier, Jérôme Patedoye, délégué syndical central CGT du groupe.
La liste pour les départs volontaires est donc ouverte depuis hier et le restera jusqu'à mi-novembre. « Mais pas sûr que ce soit suffisant pour éviter les licenciements, même si quelques-uns auront peut-être la possibilité de partir en préretraite. Je crains bien qu'au bout, il soit procédé à des licenciements. »
Quant aux conditions de départ, elles sont, elles aussi, d'ores et déjà négociées. Au-delà de la prime légale, les licenciés non-cadres bénéficieront des « conditions cadres », et les cadres, eux, verront leurs conditions multipliées par deux. « Avec un minimum de 12.000 € », précise encore Jérôme Patedoye.
Mais, au-delà de la procédure en cours et qui n'aboutira pas avant la mi-janvier, au plus tôt, pour les premiers licenciements, c'est pour la pérennité du site que s'inquiète le représentant syndical. « Le site de Parthenay a de véritables atouts et demeure le n° 1 de la fabrication de machines automatiques de découpage et de soudage en France. Mais pour le rester, nous avons besoin de conserver un bureau d'études performant, or c'est là que les coupes principales sont effectuées. La perte de postes d'ingénieurs et de techniciens est catastrophique, pour l'entreprise comme pour la localité. »
Ces craintes pour l'avenir sont-elles vraiment fondées, pour autant ?
« D'ores et déjà le groupe souhaite se séparer du site de Commercy. Est-ce le début du démantèlement total ? »

Deux-Sèvres Deux-Sèvres - Parthenay - Social - Parthenay - Social

Fin de " négo " chez Air liquide Welding End of "negotiations" at Air Liquide Welding

12/10/2013 05:28 La Nouvelle République 12/10/2013 05:28 La Nouvelle République

Les négociations viennent de se terminer au sein du groupe Air Liquide Welding France dont l'actionnaire unique n'est autre que le groupe multinational Air liquide. The negotiations have been completed within the Air Liquide Welding France whose sole shareholder is none other than the multinational group Air Liquide. Des négociations qui ont abouti au final à la suppression de 114 des 807 postes que comptait l'entreprise. Negotiations that led to the final elimination of 114 positions that were 807 company.

Sur ces 114 suppressions de poste, 25 auraient dû concerner le site de Parthenay où travaillent encore 149 personnes. Of these 114 job cuts, 25 would have concerned the site Parthenay where 149 people are still working. Finalement, après négociations, ce n'est plus que 20 postes que perdra le site des Deux-Sèvres, les autres étant répartis sur les 4 autres sites français du groupe. « Désormais, on est arrivé au bout des négociations », nous indiquait hier, Jérôme Patedoye, délégué syndical central CGT du groupe. Finally, after negotiations, it is more than 20 stations that will lose site of Deux-Sèvres, the others being distributed on four other French sites of the group. "Now we come to the end of negotiations," we said yesterday Jerome Patedoye, central trade union CGT group.
La liste pour les départs volontaires est donc ouverte depuis hier et le restera jusqu'à mi-novembre. « Mais pas sûr que ce soit suffisant pour éviter les licenciements, même si quelques-uns auront peut-être la possibilité de partir en préretraite.
The list for voluntary redundancy is open since yesterday and will continue until mid-November. "But not sure this is enough to avoid layoffs, though some may have the opportunity to take early retirement. Je crains bien qu'au bout, il soit procédé à des licenciements. I fear that in the end, it is made ​​redundancies.» "
Quant aux conditions de départ, elles sont, elles aussi, d'ores et déjà négociées.
As for the initial conditions, they, too, already negotiated. Au-delà de la prime légale, les licenciés non-cadres bénéficieront des « conditions cadres », et les cadres, eux, verront leurs conditions multipliées par deux. « Avec un minimum de 12.000 € » , précise encore Jérôme Patedoye. Beyond the legal premium, licensed non-executives will benefit "framework conditions", and managers, they will see their terms multiplied by two. "With a minimum of € 12,000," adds Jerome Patedoye.
Mais, au-delà de la procédure en cours et qui n'aboutira pas avant la mi-janvier, au plus tôt, pour les premiers licenciements, c'est pour la pérennité du site que s'inquiète le représentant syndical. « Le site de Parthenay a de véritables atouts et demeure le n° 1 de la fabrication de machines automatiques de découpage et de soudage en France.
But beyond the proceedings and does not lead until mid-January at the earliest, for the first dismissal is for the sustainability of the site is concerned the union representative. "Site Parthenay has real strengths and remains No. 1 in the manufacture of automatic machines for cutting and welding in France. Mais pour le rester, nous avons besoin de conserver un bureau d'études performant, or c'est là que les coupes principales sont effectuées. But to stay, we need to keep an office performance studies, or this is where the main cuts are made. La perte de postes d'ingénieurs et de techniciens est catastrophique, pour l'entreprise comme pour la localité. The loss of jobs for engineers and technicians is catastrophic for both the company and the community. » "
Ces craintes pour l'avenir sont-elles vraiment fondées, pour autant ?
These fears for the future are they really based, in so far?
« D'ores et déjà le groupe souhaite se séparer du site de Commercy.
"Already the group wants to separate from the site Commercy. Est-ce le début du démantèlement total ? Is this the beginning of the total dismantling? » "
 
Par SudOuest.fr, avec AFP
 
1
 
Gironde : des salariés d'Air Liquide bloquent le site de Floirac
Ils étaient une quinzaine, ce mercredi matin, à protester contre un plan de suppressions de postes
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
La direction d'Air Liquide annonce "94 suppressions d'emploi nettes sans licenciement" (Archives Guillaume Bonnaud )
Une quinzaine de personnes postées à l'entrée du site Air Liquide de Floirac, près de Bordeaux, empêchent la sortie de camions. Une dizaine de camions qui devaient livrer des clients n'ont pu sortir, selon la direction.
Ces manifestants protestent contre un plan de suppressions de postes annoncé en septembre. Une délégation de manifestants devait être reçue dans la matinée par la direction du site.
La CGT Air Liquide, à l'origine de l'appel au blocage a pour sa part précisé que cette action avait pour but de montrer la mobilisation des salariés, qui craignent que le plan présenté par Air Liquide France Industrie en septembre, prévoyant 160 suppressions de postes dont 125 départs volontaires, ne se transforme en plan social.
Air Liquide a distribué 803 millions de bénéfices en 2012 et ces suppressions ont un but de "rentabilité, pour faire remonter de l'argent aux actionnaires", a déclaré Christian Granday, de la CGT.
Le représentant syndical a précisé que d'autres actions seraient organisées dans les mois qui viennent, le syndicat craignant que, faute de candidats, le plan de départs volontaires ne débouche, à partir de 2014 sur des licenciements. Une grève suivie par une soixantaine de salariés a déjà été organisée le 10 octobre à Bobigny (Seine-Saint-Denis).
Air Liquide France Industrie avait annoncé "160 suppressions de postes et 66 créations, soit 94 suppressions nettes sans licenciement" en précisant qu'elles se feraient "dans le cadre d'un plan de départs volontaires".
Ce plan s'inscrit dans le cadre d'un projet de réorganisation du groupe de gaz industriels prévoyant aussi la fermeture d'un site à Bobigny et le transfert de l'activité au Blanc-Mesnil (Seine-Saint-Denis). Selon la CGT, quelque 800 salariés sont concernés par ces restructurations sur les 48 sites en France.
 
By SudOuest.fr with AFP
 Gironde employees of Air Liquide block site Floirac
 They were fifteen on Wednesday morning to protest against a plan for job cuts
Management of Air Liquide announces "94 redundancies net without layoffs" (William Bonnaud Archives)
Fifteen people stationed at the entrance to the site of Air Liquide Floirac, near Bordeaux, prevent the release of trucks. A dozen trucks that were to deliver customers could not get out, according to management.
The demonstrators protested against a plan for job cuts announced in September. A delegation of protesters was to be received in the morning by the site management.
CGT Air Liquide, the origin of the call to block for his part said that to show the mobilization of employees, who fear that the plan presented by Air Liquide France Industrie in September, providing 160 cuts this action was to positions including 125 voluntary departures from becoming socially.
Air Liquide has distributed 803 million in profits in 2012 and these losses have a goal of "profitability, in order to raise money to shareholders," said Christian Granday, CGT.  The union representative said that other actions would be organized in the coming months, the union fears that the lack of candidates, the voluntary redundancy scheme does not lead, from 2014 layoffs. A strike followed by a sixty employees has already been held on October 10 in Bobigny (Seine-Saint-Denis).
Air Liquide France Industry announced "160 job cuts and 66 creations, or 94 net losses without layoffs" stating they would "under a voluntary redundancy scheme."
This plan is part of a proposed reorganization of the group of industrial gases also providing for the closure of a site in Bobigny and the transfer of the business to Blanc-Mesnil (Seine-Saint-Denis). According to the CGT, about 800 employees are affected by the restructuring of the 48 sites in France


 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

Les salariés de Saga Décor et Air Liquide défendent leurs emplois

Publié le 13.07.2013, 07h00  Le Parisien
Pont-Sainte-Maxence, rond-point rue Pasteur, hier. Les salariés des deux entreprises touchées par les licenciements ont sensibilisé les automobilistes à leur situation.

Pont-Sainte-Maxence, rond-point rue Pasteur, hier. Les salariés des deux entreprises touchées par les licenciements ont sensibilisé les automobilistes à leur situation. | (LP/H.S.)

« On en a marre des délocalisations! » Comme l’ensemble de ses collègues, cette salariée d’Air Liquide a distribué hier des tracts rue Pasteur, dans une zone industrielle de Pont-Brenouille durement touchée par les licenciements. La délocalisation de la production d’Air Liquide en Slovaquie va coûter 52 emplois au site de Pont.
A leurs côtés pour dénoncer ces mesures, les salariés de l’usine voisine Saga Décor, guère mieux lotis avec 45 suppressions de postes sur les 120 du site. « Et encore, nous avons réussi à sauver 11 postes car au départ, c’était 56 suppressions, note Pascal Gérard, délégué du personnel CGT. Si le Medef continue à prendre les salariés pour des marchandises, cela finira mal. » Pour l’heure, l’été coïncide avec une suspension des discussions chez Air Liquide tandis que chez Saga Décor, l’essentiel des modalités du plan de sauvegarde de l’emploi (PSE) a déjà été établi entre les partenaires sociaux.
 



 
 

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire